fontainebleau, claude
samedi 3 novembre 2012, par
le jour se lève à l’hôtel de l’aigle noir, un pont comme un grand n et au-dessus du train qui ne passe pas des tracés, carreaux pages à la marge l’écriture de l’instituteur, ligne de l en rouge tous impossibles à reproduire, pleins et déliés, l’odeur violette dans les godets de porcelaine, le bruit de la plume, un petit souffle à grincis doux sur le papier, et quand claude entre, tous se lèvent, sûrement un qui s’essuie le nez à la manche de sa blouse