appel
lundi 30 juillet 2012, par
Appel : une tension dès le réveil – un point concret, appel vers lui, ce temps exact dans l’espace – un point imaginaire, appel vers lui, s’est coulé sur le point concret et le recouvre comme un vêtement souple enfilé fluide avant départ précipité à un moment où s’habiller n’aurait pas d’importance – l’appel est une attente à la fenêtre, le point concret-imaginaire voilé de brume – attendre de faire le point, focus, espérer que le flou se taise – attendre un autre point qui se découvre, c’est le troisième, sous chacune de ses jambes un point concret un point imaginaire formeraient deux échasses – l’appel du troisième point est ma constante – et si tout se passe bien, à l’intérieur de la pièce vide qu’il ouvre, j’écris